Un chat des rues nommé Bob – James Bowen
Quatrième de couverture :
Réfugié dans la drogue depuis l’adolescence, James est un jeune Anglais en manque de repères. C’est sur un coup de tête qu’il décide de s¡installer à Londres pour réaliser son rêve : jouer dans un groupe. Hélas, il rencontre surtout une bande de SDF et, très vite, James fait la manche dans la rue.
Un jour, il trouve un chat abandonné, en manque de soins. Il laisse toutes ses économies au vétérinaire pour le sauver. Dés lors, les deux compères ne se quittent plus. Des sorties de métro où il vend des journaux jusqu’aux quartiers dans lesquels il chante, James emmène Bob partout. Tous deux rencontrent un succès fou. Un duo irrésistible et une amitié hors du commun qui vont aider James à sortir de l’enfer.
Mon avis :
Quelle belle histoire ! Ce livre m’a été prêté par un ami espagnol, je ne l’ai donc pas lu en français mais ça ne change pas grand-chose à mon avis de lectrice. Je ne vais pas parler de l’écriture dans cette chronique mais seulement du fond.
Pour commencer, mention spéciale pour la couverture. Ceux qui me suivent depuis quelques temps sur Instagram auront vus une ressemblance avec ma petite Caramel. Ma chatte de huit mois a exactement la même bouille ! Je ne suis donc peut-être pas objective si je vous dis que je me suis tout de suite attachée à Bob 🙂
Néanmoins, c’est la réalité. L’auteur nous raconte une partie de sa vie, depuis sa rencontre avec son chat Bob. J’ai de suite accroché, cette histoire autobiographique m’a touché, et j’avais vraiment envie que James trouve le bout du tunnel et s’en sorte. C’est un récit attachant et tendre, une belle leçon de vie aussi. J’ai parfois souri et je n’ai pu m’empêcher de penser à ma propre vie et ma rencontre avec Caramel. Mais je peux vous assurer que sans avoir d’animal de compagnie, on ressort forcément ému par l’histoire de James Bowen.
J’ai parfois aussi été attristée par le comportement de certains citoyens et ce livre donne envie d’être plus altruiste, d’aider un peu plus son prochain et nous fait prendre conscience de la difficulté de vivre dans la rue.
Aucun besoin de réfléchir avec la lecture de ce récit, mais juste se laisser porter… Cela fait du bien parfois…